I'm not eating dinner anymore and I'm bored so I will post but another poem....

This poem is based on a true story I heard from my criminology/ethics teacher...It mad me so sad that I had to write a poem about it...

Fifteen Miles

I heard a sad story once
About a man who lived
Through New York City he walked
To go jump off a brdge

While searching his apartment
The cops, they found a note
Addressed to his psyciatrist
And to her he wrote

"Fifteen miles to the bridge
If someone, a smile, they gave
I will stop and turn around
My life they will save"

And the psyciatrist thought
"A long walk fifteen mile
With all the people in the city,
Not one gave him a smile?"

And I promised myself
Happy my life I would live
I would save a man's life
Because of the smile I'll give

But it's hard to be just happy
The rest bottled up inside
Maybe if I had let them out
Maybe I wouldn't have died

Fifteen miles I had walked
From my house to a bridge
Had someone given me a smile
I would've lived



If you can't find the message in that poem...you have to be pretty brain dead...lol...but, sad true story, right? The beginning part that is...

That's an impressive poem. One of your finest!

We're running out of positive adjectives to describe your poetry.. lol:D

lol....thanks....I'm getting kind of bored....so i might post another.....Thank you for your kind words of encouragement/approval...lol

very interesting really!!! are you studying crimnology? :)

i can show you some of my poems i don't really like them but i have to write in order to say what i would say in my friends and other people


c'est effrayant de se dire qu'on sert à rien
qu'on est pas à notre place
et qu'on ne le sera jamais
parce que c'est comme ça

another

le monde, la vie, une chambre noire...

le vie, c'est comme une chambre noire, on y voit quedal, on se cogne partout, on se ramasse la tronche par terre, on trebuche, on avance tout droit sans se préoccuper si y a un trou...
autrefois, les Lumieres ont trouvé l'interrupteur de cette chambre et avait fait naître un immense espoir, celui de voir...mais l'ampoule a cramé et les hommes se sont retrouvés dans une léthargie passive...
aujourd'hui, ils se trouvent tous ds le noir, cette pénombre où vivent des monstres et des creatures diurnes...elles, voient dans la nuit, ellles voient la sortie mais sont trop aveuglées par cette lumierre...alors elles dirigent les autres hommes encore plus loin ds ce trou à rat...et les hommes suivent et tendent à tous devenir des prototypes de la société...y a qu'à regarder autour de nous, les trois quart des gens sont pareil...on naît, on grandit, on mange on dort on pisse on fait des etudes on se marie on a deux enfants on divorce et creve dans l'indifference des autres...dans cette societe uniformisée, tout le monde est pareil; qu'il y en ait un qui meure et ça ne changera rien à l'histoire...ce ne sera qu'un confrere qui a disparu...les individus qui ne rentrent pas ds ce prototype ce sentent à l'ecart, pas à leur place et tout ça leur donne envie de vomir...ils st persecutés par tous les autres par cette societe sorte de gros boulet qui vs ecrase dès que vs êtes trop près de lui...elle nous ecrase et nous ettoufe certains le voient d'autres pas...alors quand tous les gens seront des prototypes plus jamais la lumiere ne sera allumée...
alors on se demande où se trouve les electriciens pour reparer cette putain d'ampoule, nous même on cherche mais on ne trouve rien à par des trous et de l'opression...la plupart des gens sont nés aveugles et mourront aveugles en transmettant ça à leurs enfants et ces enfants ne sauront jamais qu'avant, on etait proche de quelque chose appelé lumiere, ce quelque chose qui fait que l'on voit clair et qu'on est libre...ils ne se rappelleront pas qu'avant, on aurait pu vivre...

avt qu'il ne soit trop tard...(?)
entre folie et genie, il n'y a qu'un pas, franchissons le
entre mourir et agir, il n'y a qu'une seconde...

une ombre reelle
une ombre incertaine
tout ne tient qu'à un fil
nous sommes tous des funambules,
certains plus experts que d'autres...

on ne sait jamais si ce qu'on voit est vrai..
en tout cas c'est bien réel...
c'est confus et étrange...
c'est vaporeux..
on ne sait jamais ce qu'on voit..
à part
des apparrences...

toutes funambules plus qu'expérimentées,
elles nous bousculent
et nous foncent droit dans les rotules
certains y résistent..
d'autres pas...
d'autres essaient de resister mais tombent quand même...

apparences, illusions,
ce sont que des non-vérités tenues pour vérités
dont on a oublié qu'elles le sont selon nietzsche
pas si faux

on fléchit devant des illusions
on succombe à des apparences
à des comédies
misérables hommes

ils n'ont rien compris,
ils ne jurent que par leurs yeux
et oublient le verbe penser
ils sourient et tendent la main à leur pire ennemi
eux-mêmes - leurs propres peurs matérialisées en apparences

ils sont heureux
ils se bercent de mots doux
et d'espoirs sans devenir

les bombardements neuroleptiques tardent...
indéfiniment, l'homme s'enlise...
dans SES vérités...
alors que lLes vérités sont sous nez...

tendons la main...

I can't understand them, but, I like the way it looks! lol! please feel free to post more!

thanks very much

Seeing his face brings the pain back
Hearing his name brings the fears back
Trying to forget him, but always
Remembering, never forgetting him
The memories of him kill me and I
Cannot help but cry and die every time
That day was the worst day ever
Hurting me so badly, then leaving me
7 months down the drain in a single second
The scars tell the story of the pain
Blood shot eyes are proof of the tears
Tossing and turning in my sleep
Waking up to sight of his face
Is my reoccurring nightmare
Wishing I knew what I know now
Doing it all over, but differently
But yet, if I do that, I'd be changing me
Trying not to go forward so there is no past
Trying to run backwards so there is no future
If all things heal in time, then I guess
Time stopped for me 3 years ago because
The pain never leaves me or goes away
Breaking me down until I die inside
So today I say goodbye to you and all
The painful memories, too, and to him, for
Hurting me so badly making it so I
could never love anyone the same
Now wish I got the help I needed
Earlier or else maybe this would be different
But you got away and now I'm paying...

This is deffinalty one the ones that was the hardest to write... If you can't get the idea of this poem, PM and I'll let you know....